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selma bengh

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Selma Bengh

Birthday: 19 02 1997
Phone number: *******
Website: https://slmbengh.blogspot.com
E-mail: selmamima31@gmail.com

RESUME

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  • 2015-future

    Mutation Media @ Web Developer

  • 2011-2014

    Websoham @ Exclusive Admin

  • 2009-2011

    Templateclue.com @ Lead Developer

Education

  • 2015

    University of Engineering @Level

  • 2013-2014

    College of Awesomeness @ passed

    .

  • 2009-2013

    College of Informatics @ graduated

Skills & Things about me

devices tester
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100%
helper
Web Developer
100%
wordpress

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jeudi 19 mai 2016

Samsung Galaxy S7 edge

Samsung Galaxy S7 edge

Sorte de fusion sous hormones du Galaxy S6 edge et du GS6 edge+, le Galaxy S7 edge ne s'écarte pas du chemin choisi par Samsung pour sa première incursion S edge l'an dernier, à savoir proposer une version à écran courbe de son nouveau fer de lance. Le S7 edge est donc un modèle légèrement plus grand que le GS7, avec un écran recourbé sur les bords. Il possède les mêmes qualités et va même plus loin en autonomie. Par conséquent, là aussi, Samsung réalise un presque sans-faute.

CARACTÉRISTIQUES

  • Système d'exploitation (OS)Android
  • Version d'OS testée6.0 Marshmallow + TouchWiz
  • Diagonale d'écran5.5 pouces
  • Définition d'écran2560 x 1440
  • Poids157 g
  • Dimensions150.9 x 72.6 x 7.7 mm

PRÉSENTATION

Compagnon de route du Galaxy S7, le Galaxy S7 edge est logiquement un peu plus en vue que son compère, du fait de son écran à bords courbes. Samsung réitère sa segmentation 2015, mais propose cette fois-ci un modèle "edge" plus grand, tout en conservant la quasi-totalité des composants du S7. 
 
samsung-galaxy-s7-edge-main-tq.jpg

On y trouve donc une puce mobile maison Exynos 8 Octa 8890 à huit cœurs avec un groupe de 4 cœurs M1 cadencés à 2,3 GHz et un autre quatuor ARM-Cortex-A53 à 1,6 GHz, une mémoire vive de 4 Go, une capacité de stockage de 32 Go extensible via une carte microSD (jusqu'à 200 Go et plus), un appareil photo dorsal de 12,2 Mpx et un autre frontal de 5 Mpx, le tout alimenté par une batterie de 3600 mAh. Wi-Fi a/b/g/n/ac, GPS, NFC et Bluetooth 4.2 sont de la partie, ainsi qu'une compatibilité réseau 4G LTE catégorie 12/13 (débit max. jusqu'à 650 Mbps). Le lecteur d'empreinte digitale est toujours de la partie, tandis que la coque retrouve l'étanchéité (IP68) apparue sur le GS5 et évaporée sur le GS6. 

Android 6.0 recouvert de l'interface Samsung TouchWiz est aux commandes pour la partie système d'exploitation. 

Le Samsung Galaxy S7 edge est commercialisé au prix conseillé de 799 €. Le Coréen espère frapper un très grand coup en faisant revenir des éléments (microSD et étanchéité) qui lui avaient peut-être porté préjudice sur la génération S6 auprès d'un grand nombre d'amoureux historiques des Galaxy S. 
 
samsung-galaxy-s7-edge-dos.jpg
 

ERGONOMIE ET DESIGN 5/5


Petit à petit, l'ergonomie des versions edge progresse et cette variation du S7 pourrait apporter une très bonne réponse. Le GS6 edge+ avait déjà gommé une partie des défauts du GS6 edge (des arêtes trop prononcées, un dos plat inconfortable) avec des tranches biseautées. À cela, Samsung ajoute un dos à bords courbes qui épouse bien mieux le creux de la main. Très légèrement plus épais que le GS6 edge+ à cause de sa plus grosse batterie et d'un format un peu plus contenu (5,5" contre 5,7"), le GS7 edge permet grâce à cela de cacher au maximum la protubérance de l'appareil photo.
 
samsung-galaxy-s7-edge-s6-edgeplus.jpgA gauche, le GS7 edge, à droite, le GS6 edge+
L'objet gagne encore en finesse de finition, avec une face avant où tout le pourtour en verre gagne une petite courbure. La mode actuelle du haut de gamme, ici associée aux bords incurvés, délivre une belle unité esthétique. 
 
samsung-galaxy-s7-edge-courbe-zoom.jpg

L'étanchéité, un vrai plus en cas d'accident liquide, n'est pas là pour que le GS7 edge serve d'accessoire high-tech aquatique. D'ailleurs, sous l'eau, l'écran est quasi inutilisable. Enfin, le lecteur d'empreinte, intégré dans le bouton central en façade, continue sur la lancée de 2015, avec un fonctionnement par apposition rapide et précis. 
 
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Embarquant un vrai déluge de puissance sous le capot, engoncé dans un coque étanche, le GS7 edge a de quoi faire craindre une grosse montée de chaleur. Pourtant, Samsung réussit à contenir la hausse de température sous les 38°C, de manière très localisée et quel que soit l'usage, même en jeu ou en captation vidéo 4K. Belle prouesse. 
 
samsung-galaxy-s7-edge-face-main.jpg

ECRAN 5/5


Samsung opte donc pour un écran entre celui du GS7 et celui du GS6 edge+, avec un format 5,5 pouces inédit sur les "S". Sa très haute définition induit une densité très confortable pour tout type de contenu (texte, jeu, photo, vidéo, OS) de 534 pixels par pouce. Le contraste est quasi infini, Amoled oblige, et la luminosité maximale plafonne à un très lumineux 650 cd/m². En ajoutant une réflexion lumineuse de la dalle de seulement 8 % (comme le GS6 edge+), vous obtenez une dalle facile à lire en toutes circonstances, en extérieur comme intérieur. Vous pourrez consulter l'ensemble de nos résultats et observations dans l'article dédié ci-dessous. 
 
Les mobiles de milieu et de haut de gamme de Samsung proposent toujours plusieurs modes d'affichage (Basique, Adaptif, Photo et Cinéma). Il convient toutefois de n'opter que pour le mode Basique pour avoir la meilleure image possible. 
  
 
COLORIMÉTRIE
3

Le rendu colorimétrique est équilibré, d'excellente facture, mais un tout petit peu moins parfait que sur les Galaxy S6. Avec un delta E moyen de 3, contre 1,4 à 1,8 sur les S6, le GS7 edge propose tout de même une expression des couleurs très fidèle, avec en sus une très bonne et homogène température des couleurs de 6845 Kelvins. En passant de moins de 35 ms à 44 ms de retard tactile, là aussi, le GS7 edge recule un peu par rapport à ses aînés, tout en restant dans un résultat de qualité face à la moyenne du marché mobile. 
 
samsung-galaxy-s7-edge-ecran.jpg

À noter, chose étonnante, que les S7/S7 edge semblent passer en mode Adaptif avec des couleurs un peu forcées lorsqu'un jeu est lancé. Rien de rédhibitoire, mais nous espérons que Samsung rétablira vite un fonctionnement plus logique par une mise à jour. 

INTERFACE ET NAVIGATION 4/5


Nous pourrions vous conter dans le détail les mille et une progressions de Samsung dans le domaine logiciel : l'optimisation continuelle de son interface TouchWiz qui fait fi quasi systématiquement du moindre ralentissement — en même temps, avec 4 Go de RAM et une puce monstre, c'eût été relativement déplacé ; des nouveaux apports ergonomiques comme le Game Launcher qui regroupe tous les jeux téléchargés dans un seul "hub" qui agglomère tout le contenu relatif aux jeux (vidéos YouTube, tutos, classements...) et le Game Tools, un bouton accessible à tout moment en jeu pour prendre une capture, enregistrer un direct vidéo et même le diffuser sur sa chaîne YouTube, mettre en pause les notifications, verrouiller les touches sensitives ou passer en mode fenêtre ; la prolifération des thèmes pour changer l'aspect de tout ou partie de l'interface ; l'intégration des applis Google (Gmail, YouTube, Play Store, Hangouts, Drive, etc.), de celles de Microsoft (Word, Excel, One Note, Skype...), de celles de Samsung, jusqu'à la création probable pour certains utilisateurs d'un trop-plein d'applis au démarrage.
 
samsung-gs7-edge-os1.jpg
 
samsung-gs7-edge-game-launch.jpg
 
Alors nous vous conseillons en parallèle de lire le test du Galaxy S7 pour un peu plus de détails concernant certains de ces points et notamment sur l'Always-On qui permet aux nouveaux GS7 d'afficher de l'information sur l'écran éteint. Un usage sympathique mais limité puisqu'il se restreint à la météo, des dessins, le niveau de batterie, la date et l'heure (cumulés ou en partie). Il peut y avoir un compteur de notifications, mais impossible d'en afficher le contenu, sauf à réveiller le téléphone. 
 
samsung-gs7-edge-multi.jpg
 
Car nous allons ici nous attarder en particulier sur un point qui coûtera son étoile de sous-note au GS7 edge : Samsung ne sait toujours pas quoi faire de ses bords d'écran incurvés. Exception faite du Galaxy Note Edge, dont la bordure inscrivait une bien plus grande courbure à l'usage pertinent et surtout un affichage permanent des options en bordure, on se retrouve une fois encore, comme sur les GS6 edge et edge+, avec une justification "pauvre" du choix du Coréen de plier ses bords.
 
1_samsung-galaxy-s7-edge-languette.jpg

Il est donc question de la même "languette" de bord d'écran que sur la génération 2015 des S edge. Placée à droite ou à gauche de l'écran au bon vouloir de l'utilisateur et à hauteur paramétrable (meilleure accès possible au pouce), elle découvre, une fois tirée vers le centre de l'écran, dans un effet de flou d'arrière-plan très classe et à transparence réglable ici aussi, une ribambelle d'accès directs : contacts favoris (déjà sur le S6 edge), applis en favoris, boussole, utilisation des données réseaux ou de la RAM, accès rapide à des fonctions spécifiques de certaines applis (écrire un SMS, création d'une fiche contact ou d'un rendez-vous dans l'agenda...), volet météo complet ... il est possible d'en télécharger davantage et de tous les cumuler. Entendons-nous bien, ces apports logiciels fonctionnent à merveille, avec une grande fluidité et sont d'ailleurs très utiles, mais ils ne nécessitent à aucun moment l'emploi d'un écran courbe, finalement. 
 
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L'autre usage qui va un peut plus dans le bon sens, c'est la possibilité d'afficher un peu d'infos sur la courbure. Cette fois, au lieu de subir une plage de 12h, il est possible de conserver cet affichage 24/24h, mais attention, il entrera alors en conflit avec la fonction Always-On, qui sera, elle, inactive. Mieux vaut conserver l'Always-on pour la journée et l'affichage latéral pour la nuit, d'autant que le premier émet une lumière plus dure sur une plus grande surface. Moins propice au temps du sommeil, donc. 

Samsung peut bien tenter de faire penser le contraire en n'intégrant pas cette option sur le S7 — alors qu'absolument rien ne l'empêche techniquement, un peu sournois quand même comme technique de vente. La situation n'évolue donc pas par rapport à 2015 et confirme toujours un peu plus que ce fameux et très bel écran courbe est uniquement tourné vers le design, au contraire de celui du Note Edge, qui était bien plus pertinent. 

Côté performances, comme évoqué dans le test du Galaxy S7, la version edge ne souffre d'aucune baisse de régime, quel que soit l'usage. Ses 4 Go de RAM proposent un matelas confortable sur lequel s'appuyer en cas de besoin, surtout que durant nos différents tests, la machine n'a jamais consommé au-delà des 3 Go. La puce Exynos 8890 carbure, mais peut parfois accuser un petit coup de mou après de très longues minutes de sollicitations. Toutefois, si cela se repère sur tests bruts (chute du taux d'images par seconde en jeu 3D, par exemple), cela s'effectue dans des proportions qui laissent encore au GS7 edge un comportement haut de gamme. 

MULTIMÉDIA 5/5


Toujours pas de prise en charge de l'AVI et de l'AC3 chez Samsung, mais un lecteur vidéo d'une grande profondeur qui saura chouchouter tous les autres formats que vous lui donnerez à retranscrire, avec une foule d'options pour gérer affichage et sous-titres. 
  
VIDÉO
AUDIO

La section sonore se comporte exactement comme celle du GS7. La sortie casque — sans véritable problème et à hauteur de ce que propose Apple sur l'iPhone 6s ou 6s Plus — offre une prestation d'un niveau correct. La puissance est au rendez-vous et la distorsion est discrète. La plage dynamique restituée est dans une bonne moyenne, à l'instar de l'image stéréo. Sur ce point, le meilleur terminal reste le Meizu MX4 Pro. Le haut-parleur est puissant, peut-être trop puissant d'ailleurs.
 
samsung-galaxy-s7-edge-jack.jpg

À plein volume, la distorsion est un peu dérangeante et il faut le baisser d'un cran pour retrouver quelque chose d'audible. L'absence d'une bonne partie du spectre n'en fera qu'un allié de fortune pour l'écoute musicale.
  
 
JEU

Comme vu plus haut, le GS7 edge et sa puce peuvent connaître un petit coup de mou en jeu, mais cela ne se traduit quasiment jamais par un micro-ralentissement. Bref, la conséquence sera imperceptible pour la grande majorité des utilisateurs. Il convient toutefois de préciser que selon les premiers retours d'outre-Atlantique, la version vendue sur place, équipée d'une puce Qualcomm Snapdragon 820, s'en tire mieux en jeu 3D. Il faut dire que le savoir-faire de Qualcomm et la puissance déjà constatée de l'iGPU Adreno 530 intégré au S820 ont largement fait leurs preuves. Notez aussi que le même iPGU Mali T880 équipe le GS7 edge européen et la puce Kirin 950 du Mate 8 de Huawei.
 
samsung-gs7-edge-game-tools.jpg

Sur ce dernier, le rendu brut se montre un poil meilleur. Sans doute que Samsung contient la puissance de l'ensemble histoire de ne pas surchauffer, quand Huawei dispose de bien plus d'espace de dissipation thermique dans sa grande phablette. Toujours est-il qu'entre ses belles performances et ses options sociales intelligentes que sont le Game Launcher et Game Tools, le S7 edge est une véritable machine à jouer qui tient dans la poche. Petit bémol toutefois sur la qualité SD (pour le moment) des vidéos de jeu capturées en temps réel depuis le Game Tools.

PHOTO 5/5


Choix remarquable et remarqué que fait Samsung sur ce type de marché. En effet, la firme coréenne recule en résolution et troque les 16 Mpx du GS6 contre du 12,2 Mpx, sur un capteur de même taille et conserve la stabilisation optique. Un choix qui est pourtant pavé d'une bonne intention : celle d'avoir de la place pour de plus grands photosites et donc de faire entrer plus de lumière pour accoucher d'une bien meilleure captation en basse lumière. À cela, il faut ajouter l'arrivée du Dual Pixel AF, technologie de mise au point hybride héritée de certains reflex Canon et qui permet aux GS7/S7 edge de réellement passer dans une autre dimension en matière de réactivité de prise de vue, quelles que soient les conditions. 
 
samsung-galaxy-s7-edge-capteur.jpg

Alors, sommes-nous conquis par cette approche légèrement différente du photophone ? Eh bien, si vous avez lu notre test du GS7, vous savez sans doute que oui. Beaucoup. Évacuons tout de suite un premier point : oui, il faut logiquement composer avec une perte de détails par rapport aux rendus de la génération GS6, forcément. Toutefois Samsung compense autant qu'il peut avec un nouveau traitement d'image qui renforce le contraste, les contours, tout en lissant l'ensemble pour atténuer les effets pervers de ce genre d'entreprise. Cela se remarque encore, avec une légère "dureté" du rendu face aux côtés plus fluides des GS6. Mais qu'on ne s'y trompe pas, on reste encore ici dans le très haut du panier du rendu photo de smartphone. D'autant plus lorsque l'on se penche sur la photo en basse lumière, qui cumule les prouesses.
 
galaxy-s7-maison.jpg
Photo GS7.
comparo-iphone6s-gs6-gs7-2.jpg
Zoom 100 % - Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
La machinerie derrière ce nouvel APN est impressionnante tant on ne se rend jamais compte que le GS7 edge mouline pour offrir un comportement équilibré et surtout ultra-rapide en toute occasion. Quant à ceux que le rendu automatique gênerait, Samsung propose toujours un mode Pro (entre autres modes divers) pour débrayer à loisir une grande partie des composantes photo. À noter que le capteur avant offre un large angle de prise de vue et une qualité certaine, tandis que la vidéo à l'arrière (Full HD et 4K) propose sans doute ce qui se fait de mieux dans le domaine, avec une belle stabilisation optique. 

Vous en saurez d'ailleurs plus en consultant notre article ci-dessous, dédié aux capacités photo des GS7. 
 

AUTONOMIE 5/5


Forcément, en augmentant la taille de l'engin, Samsung se permet d'intégrer une plus grosse batterie. Si le S7 se paie un accumulateur de 3000 mAh, cet edge choisit une réserve d'une capacité de 3600 mAh. À noter que le GS6 edge+, plus grand que ce GS7 edge, possède lui aussi une batterie de 3000 mAh. Samsung met donc toutes les chances de son côté pour accoucher d'une belle endurance, surtout au regard des progrès considérables que la marque a réalisés sur l'optimisation énergétique de son récent Galaxy A5.

Sur le terrain — et si l'on exclut momentanément les produits un peu exotiques (Oukitel K10000Ulefone Power et compagnie), le GS7 edge devient tout simplement le second smartphone Android le plus endurant... derrière le Galaxy A5. Avec un temps de 15h37 sur notre protocole de test général viSer, l'appareil permet deux solides journées d'utilisation et parfois plus en modérant quelques usages énergivores. Histoire de le pousser dans ses retranchements, nous avons même surutilisé le GS7 edge sur une journée avec 4h de navigation GPS + 2h de fonction modem en simultané pour alimenter un ordinateur en réseau, deux parties de jeux 3D de 30 minutes chacune, du SMS, un peu d'appel, de gestion d'emails et de consultation des réseaux sociaux. À la nuit tombée, il restait encore 25 % de batterie. Ultra-solide. Et tout cela sans avoir activé les différents curseurs de l'économiseur de batterie, historiquement efficace chez Samsung. Pour la lecture vidéo, là aussi, l'edge surprend et devient même le meilleur smartphone du moment avec 15h32 de lecture en flux sur Netflix. 
 
Rayon veille, ce smartphone se classe parmi les meilleurs élèves avec une excellente tenue de la charge lors des périodes d'inactivité. Le mode Always-On activé consommera, forcément, une poignée de points de batterie. Quant à la recharge énergétique, un cycle complet demande 1h20 seulement en mode charge rapide et un peu moins de 2h en charge classique. 
Le Samsung Galaxy S7 Edge côté téléphone
Rien à redire sur ce point, le comportement du Galaxy S7 edge, au même titre que celui du GS7, est exemplaire. L'accroche au réseau n'a montré aucune faille particulière et la récupération de la 4G en retrouvant la couverture est rapide. En communication, appelant comme appelé s'entendent correctement, même si le haut-parleur aurait pu pousser un peu plus sur le volume pour être parfait en environnement bruyant.

Le fix GPS ne nous a jamais fait attendre plus d'une poignée de secondes.

POINTS FORTS

  • Excellent écran Super Amoled.
  • Les finitions sont encore poussées dans leurs retranchements (bel effet d'arrondi global devant/derrière).
  • Réactivité globale de l'appareil.
  • Autonomie monstre, qui plus est pour du haut de gamme ainsi équipé.
  • Retour de l'étanchéité et de l'extension mémoire par microSD.
  • Photo : mise au point turbo-laser-flash-éclair / Rendu en basse lumière.

POINTS FAIBLES

  • Samsung peine encore à rendre pertinente (au-delà de sa simple beauté plastique et de finition) la double courbure de son écran.
  • Pas encore de passage à l'USB-C.
  • Certains utilisateurs attendront encore un retour de la batterie amovible.
  • Le système occupe 8 Go sur 32 Go.
  • Perte de détails en photo.
  • Mode Always-On pas encore assez poussé.

CONCLUSION 5/5

Machine de guerre qui récupère toutes les qualités de la génération GS6 edge et edge+ pour y ajouter une grande endurance, un autofocus boulet de canon et en profite pour faire revenir au bercail l'étanchéité et l'extension de mémoire par microSD, le Galaxy S7 edge se place aux côtés du GS7 comme l'autre smartphone haut de gamme du moment. Un appareil techniquement réussi, à l'ergonomie peaufinée et finalement dépourvu de défauts notables. Samsung commence décidément très bien cette année 2016.

mercredi 18 mai 2016

Xperia Z5

Xperia Z5


Après avoir salement essuyé les plâtres d'une puce Snapdragon 810 qui a quasi sacrifié son Xperia Z3+ (ou Z4 selon votre passeport) sur l'autel du manque d'optimisation flagrant, Sony Mobile revient dare-dare avec un Xperia Z5 qui se révèle être l'incarnation la plus proche de ce que l'on pouvait attendre d'un successeur du Xperia Z3. Au menu : un changement de design léger mais remarqué, un nouveau capteur photo et une meilleure intégration, sans atteindre le nirvana toutefois, du Snapdragon 810. Pas encore la panacée, mais il vaut désormais le coup de s'arrêter dessus. Explications...

CARACTÉRISTIQUES

  • Système d'exploitation (OS)Android
  • Version d'OS testée5.1 (Lollipop)
  • Diagonale d'écran5.2 pouces
  • Définition d'écran1920 x 1080
  • Poids154 g
  • Dimensions146 x 72 x 7.3 mm

PRÉSENTATION

Le Xperia Z5 ne tente pas la rupture, puisqu'il conserve une grande partie de la garde-robe du Xperia Z3+ et même des caractéristiques désormais "historiques" de la famille Xperia Z, comme l'écran Full HD 5,2 pouces, l'allure globale ou encore une certification IP67 pour l'étanchéité.

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Le Z5 se pare donc d'une dalle tactile IPS Triluminos de 13,2 cm de diagonale avec une définition de 1920 x 1080 px, une puce mobile Qualcomm Snapdragon 810 octo-cœur 64 bits (quadri-cœur ARM Cortex-A57 cadencé à 2 GHz + quadri-cœur ARM Cortex-A53 à 1,5 GHz) associée à une mémoire vive de 3 Go, une capacité de stockage de 32 Go extensible via l'ajout d'une carte microSD/SDXC et une compatibilité 4G LTE catégorie 6 (débit réseau théorique jusqu'à 300 Mbps). À cela Sony ajoute un capteur photo-vidéo Exmor RS maison flambant neuf de 23 Mpx avec flash led mais sans stabilisation optique à l'arrière et un capteur de 5 Mpx à l'avant. Autre élément inhabituel d'un Xperia Z, l'apparition d'un lecteur d'empreinte digitale fiché dans le bouton Marche/Arrêt. Wi-Fi a/b/g/n/ac, Bluetooth 4.2, GPS + GLONASS et NFC sont également au menu, tandis qu'une batterie de 2900 mAh vient alimenter le tout en énergie. Le smartphone est animé par l'OS Android dans sa version 5.1 Lollipop, que Sony vient recouvrir de sa désormais traditionnelle interface.

Le smartphone Sony Xperia Z5 est disponible à la vente au tarif indicatif de 699 € en plusieurs coloris (blanc, noir, doré et vert). L'entreprise n'est pas simple pour Sony, surtout dans un contexte 2015 où les fleurons sont loin d'avoir tous brillé — et la marque le sait plus que quiconque —, car il faut rattraper le peloton de tête de l'univers mobile, mais aussi se ré-imposer comme référence.

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ERGONOMIE ET DESIGN 4/5


Sony ne se mouille pas trop sur cette itération côté design. Les lignes globales des derniers Z sont conservées, mais le travail différencié des matériaux change légèrement l'approche. Ainsi le verre est-il toujours de la partie pour le dos du terminal, mais il est désormais dépoli plutôt que brillant. En résulte un aspect mat très plaisant et qui promet de n'accrocher aucune trace de doigt tout en apportant une prise en main un peu plus sûre. Bonne nouvelle.

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À l'avant comme à l'arrière, la façade se retrouve légèrement en retrait, à moins d'un millimètre du pourtour en aluminium anodisé. La raison n'est pas une malfaçon mais bien la volonté de protéger ces surfaces des chutes et chocs directs.

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L'ergonomie générale est d'assez bonne facture, mais il faut tout de même signaler deux déceptions : les boutons de volume sur la tranche droite sont placés bien trop bas. Cela en est même totalement anti-ergonomique. Juste au-dessus, le fameux lecteur d'empreinte est parfaitement intégré pour les utilisateurs droitiers et tombe pile-poil sous un pouce étalé de tout son long sur le capteur. Mais quid des gauchers ? Eh bien c'est l'index qui fait loi dans ces conditions et la prise en charge du lecteur est moins évidente, avec quelques erreurs et une obligation d'adopter une prise en main moins naturelle et étudiée pour faire tomber le doigt correctement sur le bouton.

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Enfin, le gros point d'interrogation structurel trouve malheureusement une réponse loin d'être satisfaisante. Oui, le Xperia Z5 chauffe. Et pas qu'un peu... sans toutefois atteindre les chaleurs subsahariennes du Xperia Z3+ ni ses incidences graves sur l'intégrité physique et logicielle. Néanmoins, le Z5 chauffe sur à peu près tous les usages, de manière plus ou moins prononcée. Les fonctions les plus gourmandes, la captation vidéo en 4K et le jeu vidéo 3D poussé, font monter la température à plus de 47°C, tout de même, tandis que l'appareil se stabilise autour de 37°C sur des usages basiques comme le web, du téléchargement ou la prise multiple de photos.

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Une température qui peut paraître clémente à première vue, mais qui se ressent plus que les 35°C d'un iPhone 6s, du fait des matériaux utilisés et leurs propriétés thermiques. 

ECRAN 4/5


Pas de changement dans le format ni dans la technologie utilisée, Sony fait donc encore confiance à l'IPS Triluminos — en théorie plus de richesse dans les couleurs, meilleur blanc, consommation moindre — Full HD sur une diagonale inchangée depuis maintenant 3 générations de produits. En résulte tout de même un afficheur toujours aussi agréable en lecture de contenu de tous types puisque la densité de 423 pixels par pouce est encore suffisante sur cette taille de 5,2 pouces pour assurer un bon confort de lecture. En dehors de ce point, l'écran du Z5 se veut un bon compagnon pour les yeux, mais certainement pas l'un des meilleurs du domaine. Son contraste moyen est bon (1028:1) mais inférieur aux deux dernières générations de Xperia Z et loin des terminaux haut de gamme de 2015, tous à plus de 1400:1. Heureusement la luminosité maximale reste forte (562 cd/m²), même si encore une fois inférieure à celle d'un Z3.

xperia z5 delta E

COLORIMÉTRIE
4

Le rendu des couleurs progresse lentement mais sûrement vers un résultat un peu plus fidèle que d'habitude chez Sony. On n'est encore loin des excellents rendus de Samsung, Apple ou Huawei/Honor, surtout sur les tons chair trop chargés et sur une température des couleurs toujours au-dessus de 8000 kelvins induisant une légère dérive bleutée sur les affichages de tons clairs et le blanc. Très bon point à relever, le Z5 intègre une dalle tactile plus réactive, avec un retard tactile de 47 ms, contre près de 90 ms pour le Z3+.

sony-xperia-z5-ecran-zoom.jpg

À noter que Sony propose 3 configurations d'écran, l'une sans option, l'autre Vif et enfin X-Reality. Nos meilleurs résultats ont été obtenus sans mode activé, preuve de leur efficacité relative. Vous pouvez retrouver ci-dessous un lien vers notre test plus complet de l'écran du Z5.


INTERFACE ET NAVIGATION 4/5


Rien de neuf sous le soleil du côté de l'interface Sony qui vient rhabiller Android 5.1 Lollipop pour l'année. Le contenu est absolument le même que sur le Z3+ et le Z3. Soit une interface claire, qui reprend quand même une grande partie des codes d'Android Lollipop pur, des applications propres pour le multimédia (Albums, Vidéo, Musique), LifeLog pour le suivi d'activité, Playstation pour le jeu mobile dédié et bien sûr la suite Google au complet (Play Store, Gmail, Maps, Hangouts, YouTube...).
On pourra tout de même reprocher à Sony de pousser un peu trop d'applications propres (3 PSN différents !) parfois en doublon de Google et de partenaires (Gameloft, Office Suite, AVG...) dans la besace au démarrage, occasionnant un trop plein visuel dès la première prise en main et surtout un système Android qui occupe alors plus de 9 Go d'espace...

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Les performances du Z5 sont attendues au tournant. Alors que le Z3+ était arrivé après la faible bataille du haut de gamme sous Snapdragon 810 dans le fracas que l'on connait et que le OnePlus 2 s'est légèrement cassé les dents sur la question également, Sony revient à la charge en (re)jurant par tous les saints transistors et caloducs que son optimisation de la puce de Qualcomm est une réussite. Comme vu plus haut, la partie chauffe n'est déjà pas la moitié d'un succès. La solution de Sony est encore plus radicale qu'avant pour s'en tirer à plus ou moins bon compte : sacrifions le plus de cœurs A57 possible mon bon, tant que l'affaire tourne un peu rond. Nous voici donc avec un S810 tronqué presque systématiquement de 3 de ses 4 cœurs A57, en alternance, et le cœur solitaire se contente d'une fréquence au mieux à 60 % des capacités intrinsèques de la puce. À l'usage, au sein de l'OS et sur du web ou pour le lancement et fonctionnement d'applis simples, le Z5 se porte comme un charme. C'est sur la partie jeu, photo et vidéo FHD/4K que l'histoire se corse.

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Le Z5 reste globalement plus performant que le Z3+, mais s'écroule en CPU comme en GPU pour la partie graphique après quelques minutes de manipulation. Une fois encore, nous ne connaitrons jamais un smartphone sous Snadpragon 810 en pleine possession de ses moyens. Dommage pour du haut de gamme.

MULTIMÉDIA 4/5


La où le Z3+ pouvait tirer la langue en vidéo si une activité en fond était lourde, le Z5 tourne comme une horloge avec tout type de vidéo. Le smartphone peut avaler HD comme Full HD en haut débit et l'application Vidéo se montre relativement complète et peut agréger tout le contenu de l'utilisateur, en local comme en ligne depuis différents services. Costaud.

VIDÉO
AUDIO


La sortie casque du Xperia Z5 n'éblouit pas par sa puissance, en dessous de la moyenne des smartphones. Le niveau de distorsion, la plage dynamique et la restitution de l'image stéréo sont à peine corrects. On reste assez loin de l'excellence attendue et à laquelle nous avait habitués le Japonais.

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Les haut-parleurs sont placés idéalement en façade, de part et d'autre de l'écran et offrent de la stéréo. Malheureusement, le positif s'arrête là puisque le son produit est de piètre qualité. La distorsion est très présente sur les hauts médiums. Dommage, ce sont surtout ces fréquences qui sont restituées.


JEU

Côté jeu vidéo, le Z5 rehausse le niveau catastrophique du Z3+, mais n'attendez pas un chamboulement de folie par rapport à un Z3. Les performances brutes du Snapdragon 810 bridé, restent finalement et au mieux égales à celle d'un 801 de début 2014, avec quelques agréments graphiques et effets supplémentaires via l'iGPU Adreno 430 — lui aussi très vite au niveau de l'Adreno 330 de l'an dernier... En l'état, il peut y avoir déception et frustration, mais au moins ce coup-ci, Sony évite à l'ensemble le KO technique passé 3 minutes de jeu sur des titres gourmands. Une machine à jouer, certes, mais certainement pas LE monstre vidéoludique mobile.

PHOTO 4/5


Sony a-t-il enfin trouvé la bonne formule en photo ? Il semble s'en approcher en tout cas. Le nouveau capteur 23 Mpx revu de fond en comble marque une petite rupture avec ce que les Xperia Z nous avaient offert jusqu'alors, mais l'on conserve quand même encore quelques défauts d'optique décidément inhérents aux produits de la firme nippone. Si la stabilisation optique manque toujours à l'appel, le rendu photographique se révèle enfin plus naturel, moins forcé— même si Sony est toujours aussi friand d'un post-traitement remarqué —, plus détaillé et dynamique. Dans les fameux bémols évoqués plus haut, citons le sempiternel écroulement de la netteté sur les bords de l'image — l'optique est concernée ici, pas le capteur —, quelque peu compensé par un "centre" très net largement plus étendu que sur unXperia Z3 par exemple. Certaines couleurs restent néanmoins encore trop clinquantes et saturées à notre goût.

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Le comportement global de l'APN et de son application est finalement le vrai plus de ce Z5. Le déclenchement est instantané, au tactile comme via le bouton déclencheur, ce qu'étaient loin de proposer les autres Xperia Z. L'autofocus, à détection de phase suppléée par un capteur infrarouge, est effectivement très rapide. Attention à l'usage, lorsqu'une photo est prise, l'appareil fait un rapide topo et l'image peut sembler floue. Ce n'est qu'un effet, la prise de vue est bonne mais charge lentement. Troublant, mais il faut s'y faire. Autre point sur l'autofocus et la mise au point auto. Il semble que le système, trop confiant dans sa manière de faire le point à vitesse grand V, n'apprécie pas qu'on le bouscule en pointant un élément via la mise au point tactile. Il arrive fréquemment que l'APN perde le fil sur les clichés suivants.

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À noter qu'enfin, Sony ouvre le choix de la résolution au mode Auto Intelligent et l'on peut ainsi passer de 8 à 23 Mpx d'un clic. En revanche, le mode Manuel n'avance pas (Raw absent par exemple) et se montre moins pertinent que chez la concurrence Android. Sony ayant prévu une toute nouvelle interface photo pour novembre 2015, espérons qu'un chambardement plus fourni en options soit dans les tuyaux.

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Fait étonnant, l'homogénéité des prises de vue est plus présente en basse lumière. Un terrain sur lequel Sony progresse, avec des bonnes compositions et un contraste fort avec très peu de bruit, même en zoomant, mais un lissage plus prononcé que de coutume. Il reste encore au Z5 à aller chercher un peu plus de lumière encore pour devenir un parfait roi de la nuit, mais le résultat est déjà satisfaisant. Attention toutefois, sans stabilisation et même si le Z5 peut se reposer sur un autofocus très rapide, les photos à main levée quand la lumière vient à manquer sont moins impressionnantes que sur un LG G4 ou un Galaxy S6.

Le capteur se classe sans problème dans le peloton de tête des APN à autoportrait. Fluide à la manipulation, jamais bruité, tirant un poil vers le rouge sur les tons chair, avec un beau piqué sur le portrait proche, le mode "selfie" du Z5 assure.

En vidéo, la seule progression notable est la possibilité d'utiliser la captation Full HD et 4K/UHD de longues minutes sans craindre un arrêt intempestif pour cause de chaleur tropicale dans la coque. Cela ne nous est arrivé qu'une seule fois (9 minutes de 4K), en fin d'un protocole de stress des plus éprouvants pour les composants. 

AUTONOMIE 3/5


En réduisant la capacité des batteries de ses grands Z depuis deux générations (Z3 à 3100 mAh, Z3+ à 2930 mAh), Sony semble toujours vouloir faire confiance à ses nombreuses optimisations logicielles et matérielles pour assurer une autonomie théorique immuable de 2 jours. On se souvient toutefois que le Xperia Z3+ n'était pas dans les clous sur ce point... et le Z5 ne corrige pas tant que ça la tendance. Sur notre test d'autonomie générale, le Z5 réalise ainsi un temps de 9h58, contre 12h16 pour le Z3. Si ce résultat est même inférieur à celui du Z3+ (10h12), il est compensé par un meilleur comportement du Z5 dans les usages lourds en ressources (sauf constance sur les jeux, voir plus bas), là où justement le Z3+ s'écroulait très vite, presque tout le temps. En utilisation terrain, un Xperia Z5 peut tenir une bonne journée à usage intensif et jusqu'à la fin de déjeuner suivant en mesurant les usages. Quelque part, c'est déjà une forme de victoire pour un produit sous Snapdragon 810.

En lecture vidéo en flux via Netflix, le Z5 propose 9h de fonctionnement, là encore une durée des plus correctes, mais entre 1h et 2h de moins que les deux derniers Z3. Enfin, en jeu vidéo, si tant est que vous lanciez un titre gourmand, attendez-vous à voir l'énergie disponible fondre à vue d'œil, avec près de la moitié de la capacité envolée en 1h20 deReal Racing 3.

Comme toujours, Sony peut compter sur l'efficace mode Stamina, qui réduit à néant les notifications et activités de fond quand le mobile est en veille, pour prolonger la durée de vie d'une charge. Un cycle complet, grâce à l'intégration du Quick Charge, demande d'ailleurs moins de 100 minutes. 
Le Xperia Z5 côté téléphone
Le comportement du Xperia Z5 est absolument identique à celui du Z3+. La gestion des contacts ne bouge plus trop depuis quelques générations de Xperia. On retrouve les mêmes profils simples, un peu froids, sans trop de fusion avec des entrées sociales et connectées. Une fiche de contact très — trop ? — classique en somme.

L'accroche 4G n'est pas la plus optimale du circuit haut de gamme, mais propose un service de bonne qualité et nous n'avons jamais fait l'expérience d'un décrochage ou d'un manque flagrant de tonus de la part du réseau. Même topo concernant l'accroche Wi-Fi. Le fix GPS est très bon, de l'ordre de quelques secondes seulement, en 4G comme en Wi-Fi. 

POINTS FORTS

  • Design et matériaux pertinents pour la prise en main.
  • Écran correct, des progrès en rendu des couleurs, belle réactivité tactile de la dalle.
  • Fluidité globale de l'appareil.
  • Interface Sony simple (quoiqu'un peu chargée en applis au démarrage).
  • Appareil photo en progrès.
  • Lecteur d'empreinte rapide et précis.
  • Étanche... dans les limites de plus en plus restrictives des recommandations Sony / Accroche pour dragonne dans la coque.

POINTS FAIBLES

  • Ça chauffe encore, avec quelques incidences sur les performances.
  • Autonomie toujours en retrait par rapport au Xperia Z3.
  • Rendu de l'écran distancé par plusieurs concurrents.
  • Autofocus parfois capricieux sur l'APN arrière.
  • Section sonore perfectible / Placement des boutons de volume sur la tranche.
  • Sony, les gauchers ne te remercient pas pour la position de ton lecteur d'empreinte.

CONCLUSION 3/5

La sensation d'avoir ici le véritable mobile haut de gamme de Sony pour du début du printemps 2015 est palpable à chaque recoin et comportement du Xperia Z5. Sans s'imposer fermement face à la concurrence directe, le constructeur japonais revient techniquement un peu plus dans la course — si l'on prend compte de la participation aux débats d'une puce Snapdragon 810 encore en chaleur —, avec des modifications de design bienvenues, de belles qualités de fabrication, une bonne fluidité générale et un appareil photo qui a enfin des choses sérieuses à proposer. Malheureusement, certains défauts persistent toujours et certains points restent même inférieurs à la version 2014 du Z.
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